La période d’appel à projets pour la post-production sera ouverte du 28 avril au 16 juin 2023.
Le fonds est destiné aux « jeunes » auteurs-réalisateurs, c’est-à-dire ceux qui peuvent justifier d’au moins un court-métrage.
Les auteurs, les réalisateurs et le producteur principal doivent être originaires d’Afrique subsaharienne francophone, c’est-à-dire être ressortissants d’un ou plusieurs des pays suivants : Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cap-Vert, Cameroun, Congo Brazzaville, Congo RDC, Côte d’Ivoire, Djibouti, Gabon, Guinée, Les Comores et l’île Maurice, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger, République Centrafricaine, Rwanda, Sénégal, Les Seychelles, Tchad, Togo et Haïti.
Le soutien en post-production concerne exclusivement les projets de longs métrages de fiction, d’animation ou de documentaire de création destinés à une première exploitation en salle de spectacle cinématographique et dont la durée de projection finale est supérieure à 60 minutes.
AIDE
A LA PRODUCTION
Veuillez retrouver toutes les informations sur les critères d’éligibilité, la constitution du dossier et le formulaire de candidature ici
Pour que le projet soit éligible à ce volet, il est impératif que le réalisateur soit accompagné par une société de production. Cette société doit être dirigée par une personne distincte du réalisateur.
L’aide à la post-production vise à accompagner les projets dans la finalisation de leur montage, jusqu’à l’édition du DCP.
Ce soutien peut être octroyé sous les formes suivantes :
- Une aide financière sélective dédiée à la post-production de l’œuvre dans la limite de 20 000 €.
- Une aide financière sélective en partenariat avec le Centre Yennenga (Dakar, Sénégal). Cette aide consiste en la prise en charge des frais de post-production au centre Yennenga, dans la limite de 20 000 €.
- Une formation ciblée, qui, selon le pays de production concerné et les besoins du projet, pourra se traduire par différents types d’actions, tels que :
- Des bourses de participation à un atelier de post-production dans l’un des pays partenaires ou une formation en direction de post-production.
- Des jumelages et des échanges de professionnels et de compétences/formation entre le producteur local et un directeur/chargé de postproduction d’un pays partenaire ou le monteur local et un monteur d’un pays partenaire.
- Des partenariats avec des industries techniques et des sociétés de post-production, notamment pour la prise en charge des sous-titrages des projets.
- Des échanges au sein des écoles de cinéma.